RÉCITAL Pene pati, amitai pati, golda Schultz - PARIS (TCE) - LUN 8 Janvier 2024

Olyrix, 09/01/2024, Emmanuel Deroeux

Le chef Quentin Hindley semble porter une grande attention aux couleurs instrumentales, invitant les musiciens des Frivolités Parisiennes à déployer leurs palettes, par des gestes amples et tout aussi sensibles, alliant souplesse et nervosité maîtrisée. Les touches se font quasi impressionnistes (par exemple dans l’ouverture du Pardon de Ploërmel de Meyerbeer), tandis que les accents rythmés et très bien équilibrés se font entrainants et précis.

 

Première Loge, 10/01/2024, Camillo Faverzani

Quentin Hindley dirige Les Frivolités Parisiennes avec compétence, sachant juguler sans faille les dissonances d’une partition servant ce soir de mise en bouche aux prestations des chanteurs dont il soutient également l’interprétation de la manière la plus efficace. 

 

Forum Opéra, 09/01/2024, Christophe Rizoud

La dernière partie du programme offre aux Frivolités Parisiennes plus d’occasions de briller. L’orchestre prend le pas sur les chanteurs. Il faut dire qu’à l’exception de « Dein ist mein ganzes herz », le répertoire exige des voix sonorisées. Quentin Hindley avait jusqu’alors montré quel accompagnateur zélé il savait être ; il occupe à présent la première place sur le podium. Tout swingue, tout claque. Le récital se fait show.


Mozart: Symphonie 41 "Jupiter" et Requiem - Paris, Théâtre des Champs-Elysées - 13 février 2018

Extrait de l'article de Anaclase - 14 février 2018

Par François Cavaillès

"Avec modestie et douceur s'ouvre l'Allegro vivace de la Symphonie en ut majeur n°41 K.551 « Jupiter », révélateur d'une profonde ambivalence, entre verve élégante et politesse délicate, sous la baguette de Quentin Hindley tenue ferme, direction langoureuse et explosive du Miskolci Szimfonikus Zenekar (Orchestre Symphonique de Hongrie-Miskolc) – des larmes dans un sourire. L'effet est confondant à travers le jeu malin et chantant d'alternances qui assurent à ce premier mouvement un franc succès original"
"La mer vocale, valorisée par la direction orchestrale, grossit encore pour le Dies Irae vertigineux, d'une tension effrayante, jusqu'à ce que les autres solistes – la noble basse au superbe timbre Marcell Bakonyi, le ténor léger et spirituel Zoltán Megyesi et l'alto au lyrisme bien mesuré d'Élodie Méchain – dévoilent la teneur sacrée du grand œuvre"
"Chœur et orchestre tracent à merveille le fil conducteur d'une grande clarté sonore, tandis qu'au plan strictement musical, la liturgie atteint un niveau humain inouï d'expression humaine, naturelle d'un propos surnaturel."

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RÉCITAL PRETTY YENDE - PARIS (TCE) - MER 28 JUIN 2017

Extrait de l'article de Forum Opéra - mer 28 juin 2017
Par Christophe Rizoud

"Par un curieux caprice de la programmation, la saison parisienne se termine comme elle a commencé, avec le triomphe de Pretty Yende, ovationnée debout par le public du Théâtre des Champs-Elysées à l'issue de la scène de folie de Lucia di Lammermoor, rôle qu'elle interprétait en octobre 2016 à l'Opéra de Paris et dont elle est aujourd'hui une des meilleures titulaires. (...)

Il faut ici tirer son chapeau à Quentin Hindley, à la tête d'un Orchestre de Picardie dont on a pu trouver, dans les numéros instrumentaux, les percussions trop affirmées. Attentif, prévenant, le chef sait tout en gardant le contrôle de la partition préserver la liberté de l'interprète."

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She's so Pretty Yende, aux Champs-Élysées

Extrait de l'article de Olyrix - jeu 29 juin 2017
Par Charles Arden

"Ce récital au Théâtre des Champs-Élysées pose un éblouissant point d'orgue sur la programmation Les Grandes Voix et sur une saison de rêve pour Pretty Yende, qui confirme sa place aux sommets de l'art lyrique. (...)

Sous la baguette souple et limpide de Quentin Hindley, la phalange Picarde tient sa juste place derrière la cantatrice, suspendue à ses lèvres, lui laissant l'entière liberté sur les cadences, s'harmonisant à ses moindres accents et nuances. 

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PROJETS SOCIAUX ET INTErculturELS

- Le Parisien (23/06/2017) - Essonne - Seine-et-Marne : les enfants de l’orchestre Démos sur la scène de la Philharmonie de Paris (lire l'article)

- La voix du nord (01/06/2016) - À l’opéra de Lille : «Le Monstre du labyrinthe», création musicale, opératique et collaborative (lire l'article)


Presse étrangère

Diário de Notícias : Ópera "O Monstro no Labirinto" faz "uma afirmação pela democracia" - Encenadora (lire l'article)